Les étiquettes thermorétractables, qu’on connaît aussi sous les noms de « sleeve » ou de « manchon », gagnent en popularité dans plusieurs industries, mais elles semblent particulièrement faire leur place dans le marché de l’alimentation. Un des produits qui gagnent en popularité et qui sont de plus en plus habillés d’une sleeve sont les boissons laitières. Plus précisément, plusieurs raisons font de l’étiquette thermorétractable un choix profitable et sensé pour les produits laitiers. Dans le présent billet, il est question de cobranding, c’est-à-dire d’intéressantes opportunités d’affaires.

 

D’un point de vue marketing, l’alliance de marques est une stratégie qui vise à stimuler le nombre de ventes et, ultimement, à accroître la rentabilité d’une entreprise, sans oublier l’acquisition ou l’évolution de la notoriété de la marque. Les grandes marques de lait bénéficient de nos jours d’une bonne notoriété grâce à des campagnes de branding de plus en plus fortes. Mais les plus petites laiteries ou les coopératives régionales, par exemple, peuvent grandement bénéficier d’une alliance avec un plus gros joueur pour percer et faire la conquête de nouveaux marchés.

Un emballage favorisant le cobranding

Le cobranding existe d’ailleurs beaucoup dans l’industrie des produits laitiers. On retrouve de la crème glacée à saveur de marques de chocolat connues (Rolo, Coffee Crisp, etc.), du lait aromatisé en portion individuelle (Caramilk, Mr. Big, NesQuick, etc.) ou même de la crème à café à saveur de boissons alcoolisées (Baileys, Kahlua, etc.).

Dans le cas du lait et de la crème à café, particulièrement dans le cas des portions individuelles, les contenants sont plus petits que ceux de la crème glacée, alors la sleeve vient compenser en offrant une surface d’impression maximale qui laisse suffisamment d’espace pour faire rayonner votre marque et celle de votre allié.

Facteur plaisir + cobranding

C’est donc dire qu’en plus de bénéficier du facteur plaisir qui sollicite le sens de la vue, le produit bénéficie du cobranding qui vient stimuler l’envie d’y goûter!

Si l’on considère maintenant l’amalgame du facteur plaisir, dont il était question dans la première partie de ce billet signé par mon collègue René-Pierre, et du cobranding dans un même produit, on obtient une combinaison significative pour en faire une réussite commerciale presque assurée.

Vous connaissez des exemples de cobranding réussi dans l’industrie des produits laitiers? Faites-nous en part!

L’industrie laitière en a fait du chemin depuis la pinte de lait en verre, encore bien ancrée dans la mémoire populaire des gens. Photo : Collection Robert Benoit - Économusée du fromage Laiterie Charlevoix
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
*Source de la photo à la une : enzyme.ca/unmomentchocolat

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