[vc_row][vc_column][vc_column_text]De plus en plus d’emballages sont recyclables ou compostables. De cette façon, leur impact sur l’environnement est moindre. C’est aussi un argument de vente intéressant pour les marques, qui mettent ainsi en avant leur conscience envers le développement durable et la préservation de l’environnement.

Pour aller encore plus loin vers l’idéal du « zéro déchet », de nombreuses entreprises créatives se lancent dans l’emballage mangeable. C’est ce que détaille cet article du Guardian.  Le verre mangeable, l’emballage mangeable et autre bouteille d’eau consommable sont des partis pris intéressants. En poussant la logique si loin, on résout le problème à sa source. Si l’on peut consommer le contenant du contenu que l’on veut manger ou boire, alors l’emballage n’est plus voué à être jeté et donc ne polluera pas.

L’idée est belle et ingénieuse. Des verres en agar-agar (une gelée à base d’algues) aromatisés pour boire un cocktail, de l’eau en bulles assez rigides pour qu’elle ne coule pas ou encore des membranes faites de polymères biodégradables pour protéger des bouchées de nourritures sont quelques-uns des exemples de ce nouveau mouvement. Bien sûr, les procédés ne sont qu’au stade expérimental et la mise en commerce de tels emballages semble encore éloignée. Mais c’est l’idée en elle-même qui ouvre de nouvelles perspectives.

D’un autre côté, on peut se poser quelques questions. Si l’emballage est comestible, remplit-il son rôle d’emballage ? Les emballages ont été conçus pour protéger des microbes et bactéries, de l’humidité et de la poussière notamment. Si ce qui doit protéger va finir ingérer, est-ce que la protection est optimale ? Difficile à dire. Mais l’idée est belle et saura sans aucun doute inspirer de nombreuses entreprises. En attendant, on peut toujours se tourner vers des emballages recyclables ou compostables disponibles sur le marché.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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