Il est fort à parier que l’une des choses qui préoccupera ceux qui assisteront à la 6e édition du congrès de l’AMBQ à Québec les 16, 17 et 18 novembre prochains sera d’apprendre comment maintenir sa compétitivité dans le marché des microbrasseries d’aujourd’hui.
Le rapport statistique annuel de Beer Canada 2015, publié en juin dernier démontre que le marché de la bière, dans l’ensemble, a stagné. Le total de litres vendus annuellement est demeuré pratiquement inchangé depuis 2009 (environ 22 515 hectolitres par an). À noter également que la consommation par habitant au Canada a légèrement diminué pour passer à environ 1,5% à 63,35 litres par an au cours des 6 dernières années.
Cela ne veut pas dire pour autant que les perspectives sont sombres pour les brasseurs indépendants. En fait, ces petites et moyennes entreprises ont plutôt gagné du terrain dans l’ensemble du marché de la bière par rapport aux grands joueurs. Selon IBIS world, une société d’études des marchés industriels des États-Unis, la part de marché des microbrasseries aux États-Unis au cours des 5 dernières années, a augmenté de 19% et semble toujours poursuivre cette tendance. Étant similaire, le marché canadien assiste probablement au même phénomène.
En fait, le vrai défi qui nous attend serait le nombre toujours croissant de concurrents en lice pour la reconnaissance dans le secteur des microbrasseries. Encore selon Beer Canada, il y a eu une augmentation du nombre des concurrents de l’ordre de 70% dans les 5 dernières années. Cela porte le nombre total de microbrasseries à 520 au Canada en 2014.
Faire face à une concurrence croissante dans un marché en stagnation exige de l’audace. Et l’audace se trouve être l’une des choses que le consommateur cible semble rechercher. Traditionnellement, le plus important groupe d’âge cible du marché de la bière est la catégorie des jeunes hommes d’environ 19 à 30 ans. Ce groupe d’âge correspond maintenant à ce qu’on appelle la génération du millénaire. Une des caractéristiques reconnues de ce groupe générationnel, selon Forbes.com, est qu’il est «souvent à la recherche de quelque chose d’exotique, aventureux, mémorable ou de nouveau à explorer». Il s’en suit alors que les fabricants de bière indépendants voudront rendre leurs produits plus «exotiques», plus «uniques» et pourquoi pas carrément une aventure brassicole à tout casser ? Certes, mais comment?
En tant que spécialistes dans le domaine de l’impression et de l’identification des produits, nous serons présents au congrès de l’AMBQ avec notre propre réponse à cette question: l’emballage sleeve ! Nous croyons que les compagnies de bière doivent comprendre le potentiel de l’emballage sleeve et ce qu’il peut faire pour leur produit, en raison de sa nature immersive, sa forme moulante à 360 degrés, la très haute qualité du rendu de ses couleurs, et plus encore. Pour citer une étude de 2010 de AC Nielsen sur l’effet positif de l’emballage sleeve, «les emballages sleeve créent des connections émotionnelles plus fortes que celles pouvant être créées par des étiquettes traditionnelles, agissant comme un influenceur clé dans le processus d’essai et de ventes de produits».
Si votre entreprise est une microbrasserie, et que vous êtes présents au congrès de l’AMBQ dans deux semaines, venez-nous voir au kiosque n ° 29, soit le 16 ou le 17 novembre (nous y sommes seulement deux jours sur les trois), pour que nous puissions parler de sleeve.
Si vous êtes plutôt une entreprise qui fait de l’embouteillage et que vous aimeriez en savoir plus sur la puissance de l’emballage sleeve, n’hésitez à nous contacter!
