Depuis quelques années, beaucoup de marques font le choix de revenir en arrière, vers leur héritage, vers leurs premiers emballages. Le packaging rétro est de plus en plus commun, et les « éditions spéciales » avec un design d’antan ne cessent d’augmenter sur nos tablettes.

En adoptant ces emballages, avec des étiquettes qui font référence au passé, les marques passent plusieurs messages forts : elles montrent qu’elles sont présentes depuis de nombreuses années, qu’elles ont une histoire, un héritage et une véritable culture. C’est aussi faire un clin d’œil aux clients fidèles, ceux qui achètent les produits de la marque depuis des décennies.

Bien entendu, il faut actualiser les méthodes d’étiquetage. Reprendre les étiquettes du passé demande un travail de mise à jour des technologies, parce que les méthodes d’il y a 20 ou 30 ans ne seraient plus rentables aujourd’hui.

Les nouvelles technologies d’impression et d’étiquetage permettent aujourd’hui de recréer les étiquettes du passé, ou d’en faire des nouvelles versions, facilement et de manière rentable!

L’exemple des derniers produits des bières Guinness le montre bien. Ces étiquettes « vintage » reprennent le design d’antan de la marque, avec des formes rétro. Mais derrière, la technologie qui permet de faire ces étiquettes est absolument moderne.

Ces étiquettes « pressure sensitive » sur un substrat en papier. Le substrat en papier, avec un vernis spécial mat, permet de donner à l’étiquette cet aspect artisanal et ancien, tout en favorisant une impression rapide et une application facile et efficace.

Ces nouvelles « anciennes étiquettes » sont donc rentables d’un point de vue technique, et ont un impact important sur les consommateurs. Tout le monde est gagnant, donc!

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